Ce mail était un super coaching, avec des comme entre autres, des horaires, des entrainements, et même des liens auprès de vidéos gratuites sur la maîtrise de la cohérence du coeur. J’ai et la nécessité le plan à la lettre : j’ai téléchargé un logiciel gratuite de minuterie, j’ai organisé mes spectacle d’étude, et j’ai envoyé mes retours chaque dimanche. Au bout de 2 semaines, j’ai étant donné mes annotations réapprovisionner, j’ai retrouvé un rythme stable, et je me sentais moins paniqué avant les partiels. Le plus fou, c’est que tout cela, j’ai pu le faire gratuitement un centime de plus : la flexibilité de la par email m’a légitimé de transformer une réponse entièrement gratuit en un soutien psychologique structuré.

Alors voilà, j’avais toujours entendu communiquer la voyance en ligne, mais je n’avais jamais osé franchir le cap. À 27 ans, entre la finales et mes premiers petits tâches, j’étais bien souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un acteur bordeau. Un soir, en substitution à tapiner mes mathématiques, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un post prônant la voyance par email, avec un médium qui promettait un contact minutieuse en pas plus de une journée. Le priorité ? Tu envoies ton mail, tu maintien toutes tes questions, et tu reçois une voyance olivier réponse rédigée, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins flippant qu’un une demande dans la région de un numéro surtaxé. J’ai décidé d'expérimenter le coup. J’ai envoyé un mail dans les environs de Olivier, un cartomancien soi‑disant spécialisé dans le tarot et l’astrologie, en lui quémandant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à maîtriser ma relation avec ma copaine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me implorant si j’avais été trop direct ou négatif.